J'ai enfin goûté la bonne chère/chair

Je me suis mis sur un côté et attrapa sa perceuse de mes lèvres affamées: elle était plus délicieuse que tout à l'heure: était-ce le goût salé de son précum que j'avais lêché en suçant son gland. “C'est donc ma bouche qui a été, pour de bon, violée en première” murmurais-je. J'avais adoré la sensation d'une bite dans ma bouche: pas comme les caoutchoucs inertes. Elle sur moi en 69, je pouvais facilement apercevoir sa trousse que je doigtais délicatement. Elle était appétissante entre ces fesses inviteuses, y avait qu'à les écarter. Ma conquérante que je savourais encore était vraiment raide, j'y sentais de petits pouls. Encore une nouvelle sensation dans ma bouche. Ma MAÎTRE se redressa sur les genoux et m'ordonna: “sur tes pattes!”. J'obéis illico. Maintenant elle était derrière moi, elle m'attrapa par mes bouées et tira mes hanches vers elle en me forçant à me courber telle une chatte qui s'étire vers l'avant... Elle commença à frotter son conquistador entre mes cuisses promenant son gland à l'entrée de ma caverne et mes bourses molles pendantes. Elle a réintroduit son doigt en répandant le peu de lubrifiant qui restait mais j'ai refusé qu'elle en mette davantage; je voulais sentir et ressentir chaque seconde. Elle plaça le loukoumi à l'embouchure de ma cratère et le poussa un petit peu... j'en-suis-devenue-folle... on aurait dit la flamme d'une torche cautérisant une plaie. Ensuite elle enfonça la totalité par petite avancée. Elle est restée immobile quelques instants puis commencèrent le martelage; des coups légers suivis d'un grand choc de forage dans le plus profond alors que Selmi me tirait vers l'arrière par mes épaules pour me faire vivre l'ébranlement. Sinon elle pelotait mes seins en pinçant cruellement mes tétons. Je ne savais plus où j'étais entre douleur, plaisir, fièvre, sueur... mais aussi des larmes; de douleur ou de sensualité, qui sait. Elle continuait follement à me pomper; à chaque coup je gémissais comme une salope. Mon sang bouillonnait, le feu qui circulait dans moi avait cerné mes organes.