J'ai enfin goûté la bonne chère/chair

Ensuite elle lubrifia mes fesses et le contour de mon anneau et introduit le long bec de la bouteille dans ma cave pour y pulvériser d'avantage. Elle ignorait; jamais je n'ai eu de difficultés à absorber les nombreux objets qu'on m'a ou que je me suis enfoncés depuis trente ans. De plus, cette fois-ci je voulais ressentir tout le va-vient du piston jusqu'au plus faible pouls de sa verge. Ensuite comme elle réenfonça un doigt puis le deuxième qui ont commencé aussi rapides que sa langue. Selmi écartait ses doigts à l'intérieur de ma chatte qu'elle forçait au maximum. Le troisième les a rejoint... je les avais accueilli très aisément et avec beaucoup de plaisir. J'ai compris qu'elle aussi voulait continuer; “continu! les autres” dis-je d'entre mes dents. Je suais et ma grotte brûlait de l'intérieur malgré la fraîcher du lub et nos corps encore humides de l'après-douche. Elle poursuivit avec le 4ème, pas de soucis mais ça étirait mon anneau; mais quand vint le 5ème pour passer au fisting, j'ai eu une douleur qui m'a fait brailler. Elle a aussitôt retiré ses prolongements. Le répit n'a guère duré... elle se courba pour mordre l'une de mes fesses et cette douleur m'a fait oublié la précédente. Elle replongea sa main et commença à caresser la zone entre mon garçonnet et ma garçonnette. Est-nécessaire de rappeler le profond lien qui existe entre les deux. L'une ne peut pas exister sans l'autre, leur jouissance se complète. Un doigt encore dans mon trou les autres massaient la zone... Ah! ça, je ne l'avais jamais goûté, même pour mes orgasmes prostatiques, j'en allais fondre. Côté plaisir, je me promenais dans les nuages mais ma mon garçonnet était demi-éteint, il agonisait. On l'avait ignoré au profit de sa soeur qui, depuis longtemps, attendait avec convoitise qu'on s'empare d'elle.
Selmi continuait minutieusement son opération: elle m'a retourné, elle suçait mes seins, les mordait, lêchait mon nombril: Des coups de langues et baisers partout sauf sur ma gnome. Comme elle me pelotait et que j'avais les mains libres, je pouvais donc m'occuper d'elle, sa verge.